26/04/2024

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Coutumes ancestrales ou recettes familiales, rituels entre amis ou tons qui montent en cuisine, il faut bien l’avouer : parler de gastronomie, ça ne lasse jamais. Du simple à l’élaboré, de la tradition à la nouveauté, la cuisine est depuis toujours une occasion de se rassembler, de partager au moins une fois chaque jour. Alors que les gastronomies traditionnelles françaises et italiennes génèrent toujours autant d’intérêt auprès des touristes et aficionados du monde entier, il est temps d’explorer les autres cuisines.

Les cuisines méditerranéennes : Liban, Turquie, Maroc

La cuisine nord-africaine, aussi appelée cuisine méditerranéenne, ne cesse jamais d’ébahir. Riches en viandes, poissons, légumes et fruits, ainsi qu’en épices, ces cuisines variées et hautes en couleurs apportent chaleur et convivialité à ceux qui les partagent. Souvent nées de mélanges de cultures et influences différentes, telles que l’andalouse et l’arabe au Maroc, ces cuisines riches sont préparées traditionnellement en famille dans la région entière.

Le couscous

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Souvent préparé avant le week-end, le couscous reste un grand classique de la cuisine Marocaine. Des variations aux légumes ou aux oignons et fruits confits permettent à ce plat de rester versatile et intéressant, en plus de requérir technique et connaissances du chef qui doit manipuler la semoule très chaude à main nue.

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Le tajine

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Ce ragoût de viande ou de poisson, qui existe aussi avec une alternative végétarienne peut-être plus ou moins élaboré selon l’occasion qui se présente. Mijoté dans le récipient qui porte son nom, le tajine fait appel à une multitude d’épices, de fruits secs et de légumes.

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Les mezzés

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Ce plat traditionnel turc rassemble le meilleur de la gastronomie est se sert les jours de fête ou quand on mange en famille. Chaque portion est servie individuellement, afin de pouvoir être partagée et mélangée au choix. Pouvant varier d’une dizaine à une centaine de composants, les mezzés sont communément constitués de tzatziki, de houmous, de feuilles de vigne farcies, de taboulé, de caviar d’aubergines, et accompagné de pain pitta. Il se consomme avec l’arak, une boisson anisée allongée d’eau avec des glaçons.

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Les cuinsines sud-américaines : Mexique, Pérou

La cuisine péruvienne est l’une des plus diverses au monde, de par la location du pays, mais aussi le mélange des ethnies et cultures qui la composent. Le riz est l’accompagnement de choix de tous les plats, mais la gastronomie péruvienne n’est pas sans intérêt pour autant.

Le ceviche

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Le ceviche, un plat de morceaux de poissons ou fruits de mers crus et macérés dans un jus de citron vert, se déguste sur tout le continent. Il est considéré comme le plat national, et bien qu’il existe aussi dans d’autres pays tels que le Chili ou l’Équateur, le traditionnel ceviche péruvien est bien le meilleur et le plus authentique !

A la base de la cuisine mexicaine, elle aussi très variée de par son héritage préhispanique et européen, se trouvent le maïs, et d’autres ingrédients locaux tels que le haricot, l’avocat et la tomate. Célébrée dans toute l’Amérique Latine, cette gastronomie est plus connue dans le reste du monde pour ses fameux fajitas, burritos, sans oublier le guacamole.

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Le mole

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Moins connues, et pourtant tout aussi délicieuses, sont les grandes variétés de sauces plus ou moins épicées – élaborées à base de piments et chilis qui diffèrent en goût et en force. Le mole en est un exemple : cette sauce peut être à base de piment, de cacao ou de chocolat ; mais aussi de sésame, tomate, et de tortilla. Un accompagnement incontournable de  tout plat mexicain.

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L’asiatique : Inde et Vietnam

Le continent asiatique ne manque pas de cuisines originales, riches, et uniques. La cuisine indienne, influencée par les épices, herbes, fruits et légumes du pays, l’est aussi par la religion et l’histoire. En effet, le végétarisme est très répandu en Inde, et la consommation de bovin ou de porc est limitée par les interdits de l’hindouisme et de l’islam.

Les épices

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La cuisine indienne n’en souffre pas pour autant : au contraire, elle fait appel à des ressources riches et variées que le pays offre à ses occupants. Les épices, en particulier, sont un héritage précieux de l’Inde, et sont aujourd’hui exportées dans le monde entier. Tout le monde connaît le safran, le curcuma, le gingembre, ou la coriandre ; mais à la base de la cuisine indienne se trouvent aussi la noix de muscade, le cumin, la cannelle, l’anis ou encore les feuilles de curry. Impossible donc de se lasser de ses plats, qui incluent pour les plus réputés une grande variété de currys, de légumes cuits tels que le saag, le badji d’oignon, ou encore le dal de lentilles. Les accompagnements Indiens, à base de riz ou de farine (comme le pain de naan ou la galette chapati) sont indispensables pour des plats souvent élaborés en sauce.

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Les Nems

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Incomparable, mais tout aussi réputée pour sa variété, la cuisine vietnamienne est basée sur des herbes et épices propres au pays, tels que l’aneth, l’ocimum, la perilla frutescens, le basilic, la marjolaine, entre autres. La gastronomie du Vietnam est basée sur huit principes qui la rendent non seulement incroyablement savoureuse, mais aussi extrêmement saine. Ceux-ci incluent la diversité, les saveurs, un taux de graisse minimum, un grand nombre d’ingrédients par recette, une repas sain, une bonne présentation, l’utilisation des baguettes – le tout partagé en tablées conviviales. Les nems ou chả giò sont des galettes de riz frites fourrées une farce à base d’ingrédients hachés ou coupés.

À SUIVRE : La revanche de la cuisine africaine.

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