03/10/2024

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Grâce à leur potentiel exceptionnel, ces joueurs ont su marquer les téléspectateurs mais aussi l’histoire du football africain.

Didier Drogba (Côte d’Ivoire) 

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Drogba est le premier joueur ivoirien à avoir marqué en phase finale de Coupe du monde face à l’Argentine et au Brésil. L’attaquant s’illustre pour la première fois à Guingamp, dans le championnat français. Un an plus tard, il signe à Marseille et y reste le temps d’une saison exceptionnelle. Finaliste de la Coupe UEFA, Drogba en est le meilleur buteur. Il va ensuite passer huit saisons au club londonien de Chelsea et devient par deux fois le meilleur buteur de la ligue, trois fois champion d’Angleterre, quatre fois vainqueur de la Cup et deux fois champion de la Coupe de la Ligue. En 2012, il décroche la Ligue des Champions contre le Bayern de Munich et devient le héros de la victoire des Blues après avoir marqué le penalty qui offre la victoire à son club.

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Samuel Eto’o (Cameroun)

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Même si les trois performances de l’attaquant en Coupe du monde ont été décevantes, Samuel Éto’o a tout de même remporté deux fois la Coupe d’Afrique des Nations (en 2000 et en 2002), et une fois le titre olympique à Sydney en 2000. Avec 18 réalisations, il est le meilleur buteur de l’histoire de la CAN. Le camerounais devient un géant du football mondial en remportant par deux fois la Ligue des Champions, la Liga à trois reprises, la Coupe du Roi et la Super Coupe d’Espagne sous le maillot du FC Barcelone. Il est le seul joueur africain à avoir remporté au total trois fois la Ligue des Champions.

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Roger Milla (Cameroun)

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Avec deux victoires en CAN et trois phases finales de Coupe du monde (1982, 1990, 1994), l’attaquant possède un parcours au potentiel colossal. Après ses débuts au Cameroun, il a effectué la quasi-intégralité de sa carrière dans le Championnat de France. Lors de la Coupe du monde de 1990, Milla marque quatre buts. Le Cameroun devient alors la première équipe africaine à se hisser en quart de finale de la compétition. À ce jour, il est le plus vieux buteur de l’histoire de la Coupe du monde avec deux buts inscrits à 42 ans et 39 jours. Au cours de sa carrière, Milla a obtenu deux Ballons d’Or africains.

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George Weah (Libéria)

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Révélé à Monaco, starisé au PSG et consacré au Milan, Weah s’est imposé comme l’un des plus grands attaquants du monde pendant une décennie. Si un but inscrit par George Weah doit être retenu, cela devrait être celui de 1996. Lors de la première journée de Serie A, à San Siro, face à Vérone, il inscrit un but exceptionnel après une chevauchée de 95 mètres. À ce jour, Weah est le seul joueur africain à avoir inscrit son nom au palmarès du Ballon d’or. L’attaquant a aussi obtenu trois Ballons d’Or africains.

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Salif Keita (Mali) 

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Peu de joueurs peuvent se vanter d’avoir eu le potentiel de Keita. Incontournable chez les Verts de Saint-Etienne, et membre de l’équipe nationale malienne dès l’âge de 15 ans, Salif Keita était surnommé la panthère noire. Au cours de la saison 1970-71 avec Saint-Etienne, Keita a inscrit 42 buts. En Ligue 1, le buteur marque 10 triplets. Il obtient trois titres de champion de France avec le club et décroche le tout premier Ballon d’Or africain en 1970. Pour les Verts, Keita a inscrit 135 buts en 167 matches.

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Abedi Pelé (Ghana)

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À seulement 17 ans, le milieu de terrain était déjà présent à la CAN de 1982. Révélé à Niort, Pelé vivra trois saisons triomphales à Marseille entre 1990 et 1993. Le pilier du grand OM remporte la Ligue des Champions en 1993, en offrant le but de la victoire à Basile Boli lors de la finale face au Milan AC. Il remporte consécutivement trois Ballons d’Or Africains (1991, 1992, 1993). Ses exploits pendant cette période ont fait de lui l’un des plus grands joueurs africains.

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Rabah Madjer (Algérie)

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En 1987, lors de la Coupe des Clubs Champions, le Bayern Munich mène 1-0 face au FC Porto. Dos au but et à trois mètres de la cage, l’attaquant des Dragoes choisit son talonnade pour marquer. Porto remportera cette finale et Madjer laissera son nom au geste qui aura permis la victoire. Un geste qui figera sa carrière. Buteur lors de la victoire de l’Algérie face à l’Allemagne au premier tour de la Coupe du monde 1982 et meilleur joueur à la CAN 1990, il reste l’un des plus grands techniciens de l’histoire du football africain.

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Yaya Touré (Côte d’Ivoire)

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Le milieu de terrain ivoirien s’est imposé comme l’un des meilleurs joueurs du monde. Fin technicien, Touré possède le bagage pour accélérer le jeu et les qualités physiques nécésaires pour briller dans poste. En 2009, il est le premier joueur ivoirien à remporter la Ligue des Champions. Depuis 2011, son talent a pris une autre dimension. En 2011 et 2012, il est désigné comme meilleur joueur africain. Il ne lui reste qu’à remporter la CAN, qui par deux fois lui a échappé en finale sous le maillot des éléphants de la Côte d’Ivoire.

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Thomas Nkono (Cameroun)

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Nkono fait parti des gardiens de but les plus marquants de l’histoire du football africain. Il est vainqueur de la Coupe des Champions africaine en 1978 et 1980, finaliste de la Coupe de l’UEFA en 1988 et vainqueur de la CAN 1984. Peu de gardiens africains peuvent se vanter d’avoir un tel palmarès.

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Larbi Ben Barek (Maroc)

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Si je suis le roi du Football, alors Ben Barek en est le Dieu“. La célèbre phrase dite par Pelé à l’encontre de Larbi Ben Barek témoigne bien du respect que l’attaquant a inspiré à ses pairs. En 1938, « La Perle Noire » arrive à Marseille et évolue au sein de l’équipe de France. Mais lors de sa première sélection face à l’Italie, il est hué par le public. Barek chante la Marseillaise et est aussitôt adopté par les supporters. Après avoir relancé sa carrière au Stade Français en 1945, il montre son talent en Espagne et devient champion avec l’Atletico Madrid à deux reprises en 1950 et 1951.

À SUIVRE : Les 12 maisons de footballeurs les plus extravagantes.

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