Pour ajouter à sa peine, la campagne est également tournée en dérision Outre-Atlantique, où les Britanniques et les américains moquent les visuels sensés dénoncer les premiers signes de la radicalisation. Ainsi a-t-on pu lire dans le journal en ligne Foreign Policy que la campagne « sans doute bonne », oscille « entre l’auto-caricature et l’extrême sérieux » avec ses critères de détection « plutôt comiques».
Source : stop-djihadisme.gouv
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Même son de cloche au Washington Post. Si pour le journaliste Ishaan Tharoor la démarche a du sens, le document ne représente pas vraiment « un guide infaillible pour repérer la radicalisation d’un djihadiste en devenir».